là si tu étais le long de mon dos do ré ;)

Une journée agréable, une journée ou j’ai envie d’être belle. Une journée ou je vais à la danse, ou je sais que je vais me sentir sensuelle, désirable, malgré mes kilos en trop et mes joues rougies par l’effort. Une journée ou j’ai donc simplement décidé, en attendant le retour du mari le soir, de mettre sa robe. Je dis sa robe car c’est lui qui me l’a offert. Elle est courte, noire, moulante et fermée dans le dos. Rien que je trouve pratique, on voit ma brioche, cela souligne fortement ma poitrine généreuse. Pour le moment je ne me sens pas à l’aise du tout … 

Le cours de danse se fini, après une heure 45 d’effort, de remuage de hanches et de poitrine, mais surtout, de discutions avec une amie. On se retrouve pour se changer ” han je peux remonter la fermeture de ta robe ?  y’a rien que je trouve plus sensuel!” 

 

amusant, je n’ai jamais trouvé ça tres sensuel pour ma part …. mais bon .. soit, je la laisse faire. il est temps que j’aille chercher le mari en plus. 

La soirée passe et vient le temps de se mettre au lit, et là, ce fut la révélation 

” Ma cherie, je peux défaire ta robe, j’adore ça ! c’est tellement sensuel “

Mon amie me disait donc vrai, fermeture dans le dos = sensuel ! à retenir !! 

 

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Que fais je ? dans quel état j’ère ?

Ces derniers jours, mes pulsions ont été plus fortes que d’habitude. Toujours amoureuse de mon homme, mais envie d’aventure, de découverte, et pourtant la peur au ventre, je m’aventure sur des sites de rencontres. 

Je n’arrive pas, je n’arrive pas à sauter le pas. Soit les présentations sont froides, soit elles sont tres sexuelles et m’emporte plus dans la rêverie que dans une réalité future. 

Que dois je faire ? comment dois je faire pour réussir à vivre pleinement cette sexualité qui est mienne, ces envies, sans pour autant le perdre ou le blesser ? 

Et puis, doit on reelement assouvir ses fantasmes ? ma curiosité ne serait elle pas trop developée ? Apres tout la reverie, le fantasme, ne doit il point le rester ? 

Voilà tout mon être perdu. Ma tête dit non, alors que mon corps cri” libère moi”.

 

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Les fantasmes (partie 1)

Depuis maintenant de nombreuses années, un fantasme parcourt mes pensées. Niveau sexualité je n’ai guère connu l’originalité. Certes chaque pièce de notre papartement a été témoin de nos ébats coquins, mais en dehors de l’appartement ou d’une chambre d’hotel, nous sommes tres sages. Il y a quelques années, j’ai enfin pu me liberer avec mon bien aimé; Enfin je lui avais fait part de mon besoin d’etre dominée. Ce n’etait point dans sa nature mais il a fait son maximum. L’armoire à glace qui ma plaque contre un mur et me prend violement par derrière reste donc dans mon esprit. 

Il y a cependant un autre fantasme, et celui ci je vais avoir du mal à le realiser. Pour cher et tendre, ce fantasme revient à le tromper et ceci, il ne pourrait le supporter. Mais cette idée me trotte dans la tete. Je reve de mains sur mon corps, douce, fines et tendres, parcourant mon cou, puis descendants doucement sur ma lourde poitrine, s’attardant sur ces deux petits boutons d’or. Je de souffle sur mes genoux, remontant vers mes cuisses et vers ce mont qui n’a connu jusqu’à present que le touché et la langue masculine …. 

 

Je reve … 

 

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Juste un doigt

Voilà bien longtemps que monsieur a sut me faire apprécier l’art de Sodome. J’avais bien remarqué que le sujet le titillait quand à son cas personnel. Cependant si il y a bien une chose que monsieur refuse, c’est une partie à trois ( que ce soit des garçons ou des filles). Je suis, et je resterai il semble  sa propriété, son jouet. Et personne ne touche au jouet d’un garçon, meme un grand garçon.

Mais revenons à nos moutons. Il y a peu, mon cher et tendre m’avait avoué avoir volé mon jouet vibrant pour son propre plaisir personnel. Sur le coup, je n’ai pas très bien réagit. Si il n’aime pas qu’on lui vole ses jouets, je dois avouer que je n’aime pas non plus qu’on me vole les miens. J’avais donc promit à monsieur que je lui en achèterai un.

Jusqu’à ce jour j’avais toujours refusé ” le doigt “. Cela me posais problème, je ne sais pourquoi. Mais lors de mon retour du Japon, arrivée à 3 heures du matin, accueillie par un bouquet de fleurs et un doudou tout en manque de sa chérie, nous avons joué durant trois heures avant que ce dernier ne parte au travail. et lors d’une petite gâterie, appliquée, mon doigt s’approche doucement de la caverne. J’attrape discrètement le lubrifiant, j’en enduit mon doigt, et je fais rentrer doucement ce dernier. Je n’avais jamais entendu mon mari ” râler ” à ce point. Ce fut impressionnant, et plus son plaisir était fort, pus le mien l’était aussi.

Patience et longueur de temps Font plus que force ni que rage, monsieur aura eu ce dont il rêvait, et un plaisir j’en suis sur décuplé !

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si Loin …

alors j’ai mit un petit jeu en route. Nous verrons si cela marche

 

tu me manques, tu me manques tellement. La douceur de tes levres me manquent, tes baisers me manquent, sentir ton corps contre le mien … me manque aussi. Je ne peux m’empecher de songer à tes mains parcourant doucement mon corps, trouvant ma poitrine, jouant avec mes tetons, et les pinçant tres legerement. Puis leur descente vers mon antre, cherchant à me titiller, trouvant doucement mon clitoris, et le caressant. Puis deux de tes doigts cherchant une entrée … humide, et s’amuant encore et toujours avec moi.

( si tu me raconte la suite je te raconterai la fin 😉 )

 

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Petit questionnaire

 1. Comment dormez-vous? Vêtu de soie, nu, allongé, assis…
En hivers je ne suis pas la plus sexy des femmes. Mais en été je dors nue je l’avoue, et sur le coté ou sur le ventre.
 
2. Que considérez-vous comme un “tue l’amour”?
Des odeurs pas acceptable.
 
3. Dans le petit monde du net, quel blog vous émoustille?
Waid and see, Isabella et bien d’autres
 
4. Quel est votre plaisir coupable?

Un peu trop gourmande je l’avoue … Peu etre pas un plaisir coupable mais une pratique qui me fait toujours me dire ” là, je baise, je ne fais pas l’amour ” : un petit ” rabbit ” durant une sodomie

 
5. Un compliment, celui que vous n’oublierez jamais?
” Tu es la femme de ma vie, tu es parfaite “
 
6. Si vous étiez un vêtement, quel serait-il?
Un corset ou une guepière, car pour moi ce sont les plus beaux vetements au monde ( ça c’est le vetement que j’aimerai etre ). Sinon je serai un soutient gorge rouge à dentelle
 
7. Si vous aviez à choisir entre passion et amour… Lequel choisiriez vous? (et on choisi!! on ne se dérobe pas!!)
L’amour, car la passion est éphémère et choisir sous entend que l’on renonce à l’autre. Alors autant prendre le plaisir qui dure le plus longtemps
 
8. Et pourquoi?
Voir question 7
 
9. Que ne posterez vous jamais sur votre blog?
Des photos très intimes, ou de mon visage
 
10. Deux mots pour décrire votre amant(e)?
Doux ( peu etre trop meme ), attentionné
 
11. Quelles sont pour vous les caractéristiques d’une nuit d’amour réussie?
la recherche du plaisir de l’autre, sans pour autant delaisser le sien. De la douceur, mais aussi de la sauvagerie … à savoir doser parfaitement
 
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Couvrez ce sein …

… que je ne saurai voir !

La poitrine, la gorge, vague sujet de discution. Personnellement, comme beaucoup de femme, je n’aime pas ma poitrine. Non pas qu’elle soit trop petite, non, mais plutot … trop généreuse. Et lorsque l’on a une poitrine généreuse depuis le tout début de son adolescence, cette dernière n’arrive pas à etre pour vous un attout majeur dans la seduction. L’histoire de ma généreuse gorge commence donc à mes 13 ans, début de ma puberté. Je ne suis pas une brindille, je ne suis pas grosse non plus ( mais cela je ne m’en rend compte que maintenant ) et pourtant voici que pousse deux magnifiques petits monts, entourrant mes deux tétons. Au début, on ose pas acheter de soutient gorge, on ne veut pas que qui que ce soit puisse imaginer votre taille, et puis … l’adolescence est la quintecence des complexes. j’ai acheté, sans essayé … du 90 b ..  puis du C, jusqu’à ce qu’un beau jour d’été, mes cousines plus agées ne se decident à m’emmener m’acheter de la vraie lingerie. J’avais 15 ans, je m’en souviens, et ce fut difficile à avaler. La couleuvre portait le chiffre 95 et la lettre D. Dites vous bien qu’en 2000, au dessus du bonnet C vous ne trouviez que difficilement votre bonheur. les années passent, vient le temps du lycée, des amours, de la decouverte de la femminité. Vient aussi l’envie de dentelle, et là il faut repasser par la case lingerie. Cependant le regard des garçon sur cette partie de mon corps me pose toujours problème. Pour les garçons de mon age je suis ” grosse”, pour les hommes plus agées je suis une paire de seins à qui l’on parle. Sur la plage, les pères de famille me dévorent des yeux, et cela me met horriblement mal à l’aise. Je les cache, pas de décolté, rien … je fuis.

Puis un jour, j’en ai eu assez. Adieu les cols roulés, et autre cols bateau, place aux débardeurs et aux robes décolletés. J’ai envie de plaire et de faire de ces deux amis un atout. Vient le temps des amours, et de la bête à deux dos accompagné d’une petite poussée d’hormones que les femmes reconnaitrons facilement. 95 F telle sera ma dernière proposition ! C’était sans compter quelques kilos en trop. 90 G, et ce sera véritablement mon dernier mot. Ce lourd ( très lourd ) fardeau me permet, accompagné d’un magnifique sourire, d’avoir n’importe quel vendeur à mes pieds pour mes questions, certes, mais me met tout autant toujours mal à l’aise.

“Couvrez ce sein que je ne saurai voir” disait Tartuffe tout en tâtant et regardant largement la poitrine de Dorine. C’est exactement ce que je vies, et ce n’est en aucun cas enviable je vous l’assure. Car le seins est sexuel, très sexuel pour un homme, et vous réduit à l’état songes impies. On ne me regarde pas en se disant “tiens, elle est mignonne, ou jolie ” mais plutôt ” tiens elle a une sacrée poitrine “. Réduit à l’état d’objet sexuel, plus que personne …

 

Cela dit ne crachons pas trop sur ce physique, monsieur est bien content, bien que ma profession ne m’amène que peu à utiliser le Dalloz de parfois me faire jouer le rôle du notaire

 

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Rêveries

Parfois mon esprit voyage en des pays de rêves
fais de liens, de plaisir et de sensualité
Mêlés à une virilité certaine
liant plaisir, souffrance et volupté

Si souvent dans ses bras je me sens à l’aise
C’est pourtant avec une certaine envie
Que seule, mon esprit parcours des reves
De fouet, de fessé, et de cordes pleines de vie

Qu’il doit être heureux ce mur
Dans mes rêves de luxure
Qui accueille nos ébats

Moi et cet homme si sauvage
Dont les doigts agiles explorent mes rivages
Son corps ayant déjà gagné ce combat

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